AUTO-TIPI ( Technique d'Identification sensorielle des Peurs Inconscientes )

 

Voici le genre de problématiques que Tipi peut traiter facilement :

• Agoraphobie
• Claustrophobie
• Phobie des transports, phobie de l'avion, ...
• Phobie du vide, de l'eau…
• Serpents - araignées - autres animaux
• Phobies comportementales
• Phobies sociales
• Inhibitions
• Etats dépressifs
• Angoisses
• Irritabilité

Une étude sur 300 personnes

Entre 2003 et 2006, Luc Nicon, le fondateur de la démarche a réalisé une étude portant sur 278 personnes atteintes de phobies, d'angoisses, d'inhibition, de dépression ou d'irritabilité.

271 personnes sont totalement venues à bout de la difficulté qui les handicapaient.

8 fois sur 10, cette "désactivation" est intervenue en une seule séance.

Très peu des autres cas ont nécessité plus de 2 séances pour atteindre le même résultat.

Ces chiffres peuvent paraître provocateurs tant ils sont incroyables...

Pourtant notre pratique avec Tipi confirme quotidiennement ces résultats.

Comment et pourquoi ces ‘miracles’ se passent-ils?

Tipi a mis en évidence la possibilité de se connecter très naturellement à “la mémoire du corps” pour revivre sensoriellement des traumatismes inconscients. La séance consiste à suivre les sensations physiques ressenties lors des moments difficiles. Ce revécu n’est pas douloureux. Tipi est simplissime, mais son protocole a mis 20 ans à être établi pour trouver une telle efficacité.

L'étude identifie avec précision que le  “revécu” des personnes en difficulté émotionnelle, est d'origine prénatale.

Certains événements qui surviennent au court de la grossesse ainsi que la naissance se révèlent être des confrontations à la mort aussi traumatisantes que refoulées.

Le “revécu” sensoriel de ces événements permet de désactiver définitivement les souffrances qu’ils ont générées.

Témoignages:

Résolution d'une phobie d'avion:

" Mariane vient me voir car elle a une phobie de l'avion très handicapante: depuis plus de 10 ans, elle et sa famille ne peuvent plus prendre l'avion pour partir en vacances. Les dernières fois qu'elle l'a pris, elle n'arrivait pas à dormir pendant la semaine précédant le départ. Et elle faisait des crises de panique dans l'appareil malgré les médicaments anxiolytiques qu'elle prenait avant d'embarquer. Aujourd'hui, elle veut guérir de cette phobie car pour son travail, elle va devoir aller aux Etats-Unis, et ne peut plus échapper à l'avion. Elle s'en sent incapable et a des angoisses à cette idée.
Je lui demande si elle peut repenser à un de ces moments difficiles dans l'avion, et d'en identifier le moment le pire. Je lui demande de fermer les yeux et de me dire ce qu'elle sent dans son corps. Elle a le coeur qui s'accélère, l'impression d'étouffer, la tête qui tourne. Je lui demande alors de mettre son attention sur ces sensations et d'observer leur évolution. Cinq minutes plus tard, les sensations ont disparu. Je lui demande de repenser à ce moment dans l'avion, nous suivons à nouveau l'évolution de son ressenti physique et une minute plus tard, il est à nouveau dissipé. Mariane n'a plus de stress quand elle repense à cette crise de panique. Je lui demande si d'autres pensées associées à l'avion sont encore stressantes, mais elle n'en trouve plus! A son grand étonnement, avec un grand sourire, elle m'annonce: 'et je n'ai plus peur de me dire que je dois aller aux Etats-Unis! Je suis même curieuse de voir comment cela va se passer!'. Nous avons convenu qu'elle me ferait un feed-back après son retour. En effet, quelques semaines plus tard, je reçois un email où elle me remercie et me dit que tout s'est bien passé: elle a dormi sans problème avant son départ, et a fait un trajet de 6 heures en toute sérénité.

Merci Tipi! "

Crises de panique:

" Nicolas a des crises de panique depuis des années, dès qu'il se sent enfermé ou qu'il a trop chaud. A chaque fois, il a l'impression qu'il va mourir: son coeur s'accélère, il a du mal à respirer, se met à transpirer, et sent sa dernière heure venue. Il n'ose plus prendre la voiture, et doit quitter des réunions de travail précipitamment. Nous faisons une première séance sur des souvenirs récents de crises d'angoisse. A la fin de la séance, il est détendu et soulagé. Quand il revient, il me dit qu'il n'a plus eu de crises, mais qu'il a encore une forte peur d'en faire dans le futur. Nous nous centrons cette peur de refaire une crise, et elle s'en va en quelques minutes. Depuis, Nicolas n'a plus eu aucune crise, et après avoir traité quelques autres difficultés qu'il avait dans sa vie, nous nous sommes dit au revoir."

Etat dépressif:

" Eric présente des symptômes dépressifs depuis quelques mois. Il n'a envie de rien, tout lui semble lourd. Il est indépendant et a de plus en plus de mal à assurer ses journées de travail et ses contacts avec les clients. Il repousse ses rendez-vous, se lève tard, et s'en veut énormément. Les origines de cet état dépressif, après analyse, semblent assez claires et dues à certains événements difficiles. Avec d'autres méthodes, pour résoudre les causes de sa dépression, nous devrions partir de ces événements. Avec Tipi, nous partons de son impression de lourdeur, d'être collé au sol. A sa grande surprise, au bout de quelques minutes, cette lourdeur s'est envolée et l'idée d'appeler ses clients ne lui semble plus insurmontable. Au contraire, il a hâte de s'y mettre! La semaine suivante, il me rapporte qu'effectivement, il a pu passer des coups de fil sans effort, et faire sa semaine de travail comme avant! "

Source : www.tipi.fr